diable s'habille en Prada (Le) de Lauren Weisberger

	Pocket 2005, 506 p. ISBN : 2266150146	Lauren Weisberger Lien(s) vers le Guide: - Lauren Weisberger - diable s'habille en Prada (Le) Lien(s) externe(s): - Site officiel (anglais)
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Andrea trouve un emploi pour travailler pour la directrice d'un magazine de mode de New York. On lui dit que cet emploi lui permettra de dénicher celui de ses rêves, travailler dans un grand journal. Elle devient littéralement l'esclave de cette mégère de directrice, elle n'est pas appréciée et y sacrifie sa vie personnelle.
Je n'ai pas tellement aimé l'histoire de même que l'attitude de soumission excessive du personnage principal.

Dès les premières pages, j'ai été agréablement surprise ; c'est en effet mon premier contact avec la « schick lit » par laquelle je n'étais pas du tout attirée ; quand la sélection du trimestre est tombée, je me suis dit « voilà l'occasion de te confronter à tes préjugés » ! Et rapidement, j'ai été sous le charme de cette jeune fille débordante d'énergie, prête à s'abaisser au monde de la mode, pour espérer un jour écrire dans un journal politique. Elle décrit avec beaucoup d'humour et d'autodérision cet univers impitoyable où si on pèse plus de 50 kilos, on est obèse et si on aime porter un Jeans confortable, on est indécrottable. (Entre parenthèses, deux critères qui font de moi une anti-Miranda, ce dont je suis fière !)
Là où cela ne devient plus marrant, c'est qu'Andy se laisse tyranniser sans jamais rien dire ; les humiliations sont quotidiennes, la solidarité entre employés inexistante, ses amis et sa famille passent derrière les exigences de l'affreuse Miranda. Je m'attendais à de la révolte. Mais rien pendant plus de 400 pages, juste une description répétitive des désirs de l'affreuse Miranda !
Je comprends bien que l'auteur ait décrit un monde qu'elle a fréquenté et que cela peut être instructif pour ceux qui ne le connaisse pas mais les frasques d'une Miranda sont tellement hors norme que ce personnage dégoûte, autant que la soumission de la jeune Andy qui semblait si idéaliste au départ. Finalement, elle devient comme elle ; Andy s'habillera en Prada; Il faudra l'accident de son amie pour qu'elle réagisse et se rende compte de la démesure et de la coupure de la réalité de ce style de personnes. Comment être admirative d'une personne qui affrète un jet pour que ses filles adorées, dans une suite parisienne, aient deux exemplaires d'Harry Potter avant la date officielle de la parution !
Voilà pour le fond ! Pour le style, je dirais que c'est celui du bavardage futile entre copines. C'est agréable quelques temps mais cela ne suffit pas à remplir une vie !
Schick lit ou shit lit. Il n'y a pas de grande différence ! Alors inutile de lire le bouquin, vous vous installer dans une grande enseigne (le bouquin est partout en tête de gondole, vous ne pouvez pas le rater) et vous lisez les 50 premières et les 20 dernières pages et vous saurez de quoi cela parle !

Andrea décroche un job à New York dans un très célèbre magazine de mode. Un travail de rêve si on ne compte pas sa nouvelle chef tyrannique qu'elle devra satisfaire pendant un an au moins. Histoire d'avoir de l'expérience. Des avantages il y en a: des fringues et des chaussures de rêve gratuitement, une reconnaissance sociale, des entrées dans toutes les soirées huppées de New York.
Malheureusement, il y a aussi des inconvénients: une chef mégalomano-tyrannique, plus de vie familiale et sentimentale et un stress si intense que l'on se demande si Andréa ne va pas y perdre la santé.
Un petit livre rafraîchissant en été et chaleureux en hiver. Bien écrit mais sans grande surprise littéraire. Un petit bémol: encore un livre qui surfe sur la vague de Bridget Jones, sans originalité du point de vue des personnages. A lire si on a pas trop envie de réfléchir.

Voici un petit roman tout léger, un roman de vacances. Andrea est toute contente d'avoir décroché un emploi dans un prestigieux magazine de mode. Un poste d'assistante auprès de la directrice de ce magazine lui garantit de pouvoir ensuite gravir les échelons rapidement et arriver, peut-être, à concrétiser son rêve: travailler pour le New Yorker. Seul hic: elle doit survivre à ce poste pendant un an. La directrice du magazine de mode, Miranda Priestly, est un monstre de caprices et d'exigences. Elle mène tout le monde à la baguette autour d'elle. Les autres employés du magazine (toutes des fashion victims anorexiques et pimbêches) font la vie dure à Andrea qui doit apprendre, du jour au lendemain, quelles sont les ficelles du monde de la haute couture. Pas de grandes surprises ni de grand suspense, mais ça reste bien rigolo.

Pat, 12 novembre 2006
Je lui donne la note de :

Lorsque j'ai lu ce livre, je l'ai tout simplement détesté. Andréa est la parfaite assistante soumise et Miranda la patronne despotique. L'auteur nous raconte tortures psychologiques et caprices de chef pendant plus de 400 pages. Mais le plus incroyable est que nous avons tous une "Miranda" dans notre univers professionnel et que malheureusement la soumission d'Andréa est la nôtre. Alors tout comme Andréa décide de démissionner, je vous demande de résister en ne lisant pas ce livre ! Vous gagnerez du temps. Et n'allez pas voir l'adaptation cinématographique : elle est trop édulcorée pour refléter le livre. Miranda paraît presque humaine…

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Lana, 6 janvier 2007
Je lui donne la note de :

J'ai trouvé se livre génial ! Je trouve qu'il est bien écrit, bien rédigé... Bref se livre est super ! Je suis pressé de lire son son nouveau livre, People or not people !

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Terpromise, 12 avril 2007
Je lui donne la note de :

J'ai pris du plaisir à lire ce livre qui décrit si bien le monde de la mode et trouvé les personnages intéressants, même si Anna met du temps à s'apercevoir qu'elle ne voulait pas se transformer en l'image de Miranda Prieslly.

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Véronique Iannone, 27 août 2007
Je lui donne la note de :

Alors qu'Andréa aurait aimé travaillé pour le New-Yorker, elle se trouve, pour y parvenir plus vite, obligé de travailler un an pour un célèbre magasine de mode. Et c'est là que l'enfer va commencer pour elle. Elle est sous les ordres d'un véritable tyran, ses collaborateurs sont des fashions victimes qui ne vivent que pour la rédactrice en chef et pour la mode. Tout au long du livre je me suis demandé comment Andréa n'a jamais craqué, la fin est un véritable soulagement. J'ai trouvé ce livre amusant et relaxant, dans la lignée des Bridget Jones, Sex and the city etc...

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Angel, 18 septembre 2007
Je lui donne la note de :

Et bien moi j'ai trouvé le livre assez sympa ! Quand on rentre fatigué du boulot, lire les péripéties d'Andrea cela soulage! Finalement il y a bien pire que sa propre situation! Ce livre m'a délassée et vraiment j'en redemande !!!

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Marianne, 31 juillet 2008
Je lui donne la note de :

La transformation du personnage principal en « fashion victim » est délayée sur 300 pages environ. Autant dire que durant tout ce temps là on a juste l'impression que l'histoire, la vraie, ne démarrera jamais. Mais je me suis accrochée quand même en me disant que la révolte d'Andréa et la « happy end » n'étaient plus très loin. J'ai finalement trouvé le dénouement pathétique et la conclusion décevante. Je mets deux étoiles parce que la fréquence des mots « Jimmy Choo » parvient quand même à satisfaire un peu le désir de futilité que l'on avait en entreprenant la lecture de ce (trop) gros bouquin.

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Choupinette, 17 décembre 2008
Je lui donne la note de :

J’ai beaucoup aimé ce livre, car je l'avais déjà vue à la télé. Je trouve qu'il est bien rédigé et écris, que l'on comprend la vie de mode, que ce n'est un jeu de plaisirs. J'ai beaucoup aimé à le lire même si à été un peu long. J’en redemande. J’ai passé du bon temps à le lire.

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